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Les nanoparticules cœur-coquille, magnétiques et fluorescentes, synthétisées au laboratoire PHENIX, sont internalisées par la cellule et peuvent se déplacer dans le cytosol en réponse à l’application d’un gradient de champ magnétique. Via le greffage en surface des nanoparticules du ligand d’une protéine, il est possible de contrôler magnétiquement la bio-distribution de cette protéine dans la cellule, avec des temps de réponse courts, de l’ordre de quelques dizaines de secondes. Cette étude menée par Maxime Dahan à l’Institut Curie est parue dans Nano Letter
Molecular Physics vient de publier un numéro spécial en l’honneur de notre collègue Jean-Pierre Hansen.
Dans le cadre d’une chaire financée par la Maison de la simulation – USR CNRS/Paris Saclay – sept chercheurs et une doctorante des laboratoires PHENIX – CNRS/UPMC – et CIRIMAT – CNRS/UPS – (unités membres du Réseau sur le stockage électrochimique de l’énergie) ont cherché à expliquer le mécanisme microscopique de diffusion des ions dans les électrodes de supercondensateurs dans leur dernier article paru dans the Journal of American Chemical Society (JACS).
La synthèse de nanohybrides multifonctionnels combinant des propriétés magnétiques et plasmoniques optimisées pour des applications en hyperthemie magnétique et en photothermie ont été synthétisés, caractérisés et testés en chauffage bimodale dans le cadre d’une collaboration entre les laboratoires PHENIX, MSC (Paris 7), IMPMC (Paris 6) et McMaster University (Canada)